Table rase

Chez Desdalex, nous sommes passés à LawCloud en 2018. Il s’agissait encore d’un « jeune prodige » à l’époque. Nous avons alors fait table rase de nos processus et de notre infrastructure existants et remis notre sort numérique entre les mains de LawCloud, qui a soutenu qu’il était possible de rendre les choses beaucoup plus efficaces. En deux semaines, nous avons remplacé pratiquement toute notre technologie, jusqu’à la téléphonie, par des choses nouvelles, inconnues. Évidemment, abandonner des processus vieux de plusieurs décennies pour quelque chose de tout à fait nouveau était est une évolution radicale, qui devait s’accompagner d’un sérieux processus de changement.

Croissance structurée

Notre cabinet a connu une croissance exponentielle ces dernières années, et dans une telle situation, un progiciel comme LawCloud est essentiel pour pouvoir continuer à tout gérer dans des structures claires. Malgré que je sois nulle en informatique, je l’ai trouvé très convivial. 

En fait, je ne demande comment nous faisions avant LawCloud, et je pense que c’est la meilleure preuve de sa grande utilité.

De nombreux atouts menant à l’efficacité

Un autre aspect que je trouve personnellement très pratique est le « workflow » et la « review queue » : deux fonctionnalités uniques qui permettent de facilement répartir les tâches au sein de son équipe tout en gardant une bonne vue d’ensemble. Et puis, tous les e-mails et les fichiers sont bien rangés dans le dossier numérique adéquat. La facturation automatique des coûts et prestations enregistrés est aussi particulièrement efficace.

Le Covid nous a fait comprendre que nous pouvions travailler de manière flexible

Lorsque le Covid a chamboulé nos vies début 2020, ce changement s’est avéré être une très bonne décision. 

Du jour au lendemain, nos dizaines d’avocats et de collaborateurs ont pu travailler sans problème depuis leur domicile sans qu’il faille passer par des configurations complexes (comme c’était le cas avant LawCloud) : ils ont pu simplement se mettre au travail comme s’ils se trouvaient au cabinet. Pas de transferts vers les GSM, pas de connexions VPN, pas de retards, pas d’heures supplémentaires à prester par les informaticiens pour assurer que tout le monde soit opérationnel, bref : pas de perte de temps.